Alors que l’opinion publique internationale est suspendue aux ultimes négociations de la dernière chance pour éviter la guerre en Irak, les caméras étaient tournées vers le Vatican, dans la matinée du 14 février 2003, où Jean-Paul II recevait en privé le vice-premier ministre Tarek Aziz. L’alerte maximale a été déclenchée dans la Ville éternelle dès le 13 février, à l’occasion de la venue de Tarek Aziz en Italie. Ce dernier doit effectuer un tour sur la péninsule, d’où il repartira le 16 février après un pèlerinage à Assise, la veille. C’est la quatrième fois que le vice-premier ministre irakien se…
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