L’Espagne est venue défendre sa position sur la crise irakienne devant Jean-Paul II par le biais de la visite, le 27 février, du chef du gouvernement espagnol, José Maria Aznar. Cette visite était suivie de celle du vice-président de l’Assemblée consultative iranienne, Sayyed Mohammed Reza Khatami, inquiet pour la paix au Proche-Orient. Lors d’un colloque d’une demi-heure qui a été qualifié de « cordial » par le porte-parole du Saint-Siège, Joaquin Navarro-Valls, Jean-Paul II et le chef du gouvernement espagnol, José Maria Aznar, « ont convenu de la gravité de la situation qui s’est créée en Irak et de la nécessité de trouver…
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