Jean-Paul II a renouvelé son appel en faveur de la remise de la dette internationale le 25 mai 2000, en recevant les lettres de créance des ambassadeurs près le Saint-Siège de la Nouvelle-Zélande, du Koweit, de la République du Congo et du Ghana. Pour le pape, la remise de la dette des pays pauvres doit s’accompagner d’une « réflexion profonde » visant à « reconsidérer l’organisation de l’économie mondiale ». Celle-ci, estime-t-il en effet, fait aujourd’hui peser des charges trop lourdes sur certains pays, au détriment de ceux qui sont producteurs de matières premières, et au profit des nations les plus riches. La remise…
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