Recevant le 15 décembre 2003 le nouvel ambassadeur de la République dominicaine, Carlos Rafael Conrado Marion-Landais Castillo, Jean-Paul II a insisté sur la collaboration nécessaire entre les institutions de l’Eglise catholique et le gouvernement afin de freiner le développement du capitalisme sauvage. Alors que « des causes internes et externes ont provoqué une grave détérioration de la qualité de vie des Dominicains », le pape a souligné l’importance d’une collaboration entre l’Eglise et le gouvernement pour défendre les « valeurs éthiques et spirituelles ». Environ 90 % des habitants de la République dominicaine sont catholiques. « Dans le monde d’aujourd’hui, a-t-il affirmé, il ne faut…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE