Jean Paul II a dénoncé le marchandage autour du sort des otages et a rendu hommage au travail risqué des journalistes dans les zones de conflits armés, le 2 octobre 2004. C’est ce qu’il a déclaré dans son discours de remerciements pour le « prix du courage politique » que lui ont conjointement décerné la revue française Politique internationale, la chaîne de télévision catholique française KTO et l’Association de politique étrangère de la Sorbonne. « Aucune revendication ne peut aboutir par un marchandage sur des vies humaines. Le chemin de la violence est une voie sans issue » a déclaré le pape devant un…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE