Jean-Paul II a demandé, le 13 septembre 2004, aux évêques de Nouvelle-Zélande en visite Ad limina, de lutter contre « les effets d’une sécularisation outrancière qui affectent de nombreux pays ». « La distorsion de la raison par des groupes d’intérêts particuliers et l’individualisme exagéré sont les exemples de cette perspective de vie qui néglige la recherche de ce qu’est la pensée de l’existence humaine », a déclaré le pape aux prélats néo-zélandais. Pour Jean-Paul II, le rôle des évêques est de rappeler « le message libérateur de Jésus, dans une société expérimentant les tragiques conséquences de l’éclipse de la pensée de Dieu », et dont…
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