Dans un télégramme envoyé dans la matinée du 11 mars 2004 au cardinal Antonio Maria Rouco Varela, archevêque de Madrid, Jean-Paul II a condamné les attentats perpétrés dans la capitale le jour-même et présenté ses condoléances au peuple espagnol. Apprenant « la triste nouvelle de l’exécrable attentat terroriste » perpétré le 11 mars au matin dans les gares d’Atocha, d’El Pozo del Tio Raimundo et de Santa Eugenia de la capitale espagnole, « qui a fait de très nombreux morts et blessés parmi les citadins qui se rendaient au travail, et qui a plongé leur famille et la société espagnole en général dans…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE