« La communauté internationale ne doit pas fuir ses responsabilités sous prétexte d’autres urgences, mais elle doit les assumer courageusement, en invitant toutes les parties en cause, et d’abord les Israéliens et les Palestiniens, à renouer le dialogue sans délai », a déclaré Jean-Paul II lors de la présentation des lettres de créances du nouvel ambassadeur du Liban près le Saint-Siège, Naji Abi Assi, le 2 avril 2004. Pour le pape, il s’agit de mettre fin au plus vite « au cycle infernal des violences réciproques. C’est là le préalable nécessaire à un règlement global du conflit qui devra associer l’ensemble des pays…
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