Le Saint-Siège qualifie de « geste grave » le retrait du visa par le gouvernement russe à un prêtre catholique italien qui travaillait en Russie depuis plus de dix ans. Le père Stefano Caprio a appris qu’il ne pourrait plus retourner travailler en Russie, le 5 avril 2002, alors qu’il quittait le pays pour quelques jours. Il est accusé d’espionnage de la part des services secrets russes. « Il s’agit d’un fait grave dans les relations entre Rome et Moscou », a-t-on affirmé à I.MEDIA de source vaticane officielle, le 12 avril. « C’est la seconde fois en près d’un an qu’un tel geste est…
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