Jean-Paul II a souligné le 11 février 2001 en fin d’après-midi, le paradoxe de la souffrance qui « diminue les forces » humaines des malades et « restreint leurs projets » mais qui peut-être aussi « une grande leçon de vie » pour la société moderne. Il s’adressait à quelque 10 000 malades à l’issue d’une messe solennelle célébrée dans la basilique Saint-Pierre, par le cardinal Camillo Ruini, vicaire de Rome. Invitant les malades à « supporter avec patience les contrariétés et les douleurs », le pape leur a affirmé que « la perspective du paradis », pour les chrétiens, n’est pas une fuite des « réalités quotidiennes » mais que, quand…
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