Tout au long du siècle dernier, l’analyse du collège des cardinaux est aussi passée par l’appartenance géographique et nationale des électeurs. Pendant longtemps, la classification s’est faite entre cardinaux italiens et cardinaux « étrangers ». Mais ces derniers n’ont pas toujours pu exprimer leur vote, à une époque où les transports internationaux étaient encore longs. Ceci donnait encore plus de poids au représentants de la vieille Europe. Aujourd’hui, le Sacré collège s’est largement internationalisé et tous les cardinaux peuvent être à Rome en quelques heures. Les 117 électeurs (ou peut-être moins si certains venaient à se désister) qui vont entrer en conclave…
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