Recevant des représentants du monde industriel romain, le 18 mars 2010, Benoît XVI a estimé que la crise financière et la « ‘financiarisation’ de l’économie et des entreprises » pouvaient être considérées comme « une opportunité du point de vue de la révision du modèle de développement et d’une nouvelle organisation du monde de la finance ». Comme il l’avait déjà soutenu dans son Encyclique Caritas in veritate, cette crise doit être l’occasion d’un « profond réexamen ». En outre, convaincu que « le travail est un bien pour l’homme, pour la famille et la société », Benoît XVI a souhaité que les entrepreneurs, tout comme les autres…
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