Le pape François, avec sa lettre encyclique Candor Lucis æternæ, se place dans la continuité de nombre des ses prédécesseurs qui, au 20e siècle, ont loué la grandeur chrétienne de la poésie de Dante Alighieri. Pourtant, 800 ans après sa mort à Ravennes, l’œuvre du grand poète du Moyen Âge sonnent encore comme un réquisitoire impitoyable contre les pontifes de son temps. I.MEDIA revient, en trois temps, sur la relation paradoxale et complexe qui unit le « plus grand poète », comme le surnomme les Italiens, au Trône de Pierre. Dante a été l’adversaire de presque tous les papes de son temps,…
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- Rome