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Jean-Paul II apparait à l’improviste dans la soirée du 30 avril 2000.

En canonisant sœur Faustine, le pape institue la fête de la Miséricorde divine, le 1er dimanche après Pâques.

Presque 3 millions de pèlerins sont attendus à Rome pour le mois de mai 2000.

Pour le Saint-Siège, si la fabrication d’armes de plus en plus sophistiquées ne cesse pas, il n’y aura pas de culture de paix.

L’assemblée plénière de la Commission pontificale biblique se tiendra du 1er au 5 mai 2000.

Le pape invite les communautés du Renouveau charismatique à une maturation de la conscience ecclésiale.

Un colloque international sur le thème « Ethique et Finance » aura lieu au Vatican le 30 avril 2000.

La journée de commémoration des martyrs du XXe siècle qui se tiendra le 7 mai au Colisée aura une connotation œcuménique forte.

Le Vatican publie un recueil de textes sur l’enseignement social de l’Eglise, en attendant la publication en fin d’année d’un catéchisme social.

Le cardinal Sodano souligne le rôle important de l’Eglise dans la promotion de la dignité humaine des indigènes et sa ferme opposition à l’esclavage.

Selon Mgr Diarmund Martina, la réduction de la dette internationale est trop lente.

Le pape centre sa catéchèse hebdomadaire sur la transfiguration et la résurrection.

Jean-Paul II canonisera le 30 avril 2000 la bienheureuse polonaise sœur Faustine.

Des Arméniens catholiques se rendent en pèlerinage au Vatican, en présence du patriarche arménien catholique Jean-Pierre XVIII Kasparian.

Alors qu’il célèbre la messe de Pâques, Jean-Paul II invite les chrétiens à favoriser une rencontre féconde entre les peuples et entre les cultures.