Décryptage

Blocage autour de la nomination de l’ambassadeur de France près le Saint-Siège

Près de deux mois après le départ de son ambassadeur, la France n’a toujours pas de représentant auprès du Saint-Siège. Si le Vatican n’entend faire aucun commentaire, il a cependant choisi de ne pas donner son agrément au diplomate choisi et proposé par Paris dès janvier dernier, Laurent Stefanini. Si l’homosexualité du candidat au poste d’ambassadeur pose problème, certaines sources proches du dossier au Vatican assurent cependant à I.MEDIA, sans plus de précisions, qu’une autre raison “grave“ a motivé ce refus.

Bruno Joubert, ambassadeur de France auprès du Saint-Siège depuis mai 2012, a quitté ses fonctions le 1er mars dernier. Deux mois plus tôt, en Conseil des ministres, le nom du chef du protocole de l’Elysée, Laurent Stefanini, était validé pour lui succéder. A travers les canaux habituels, le dossier est arrivé au Vatican, au terme d’une enquête menée par la nonciature apostolique à Paris. Comme le prévoit le droit international, le Saint-Siège a fait le choix de refuser cette demande d’agrément sans donner de motif, et sans même communiquer sa décision à la France. La presse française a largement évoqué…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE

Actualité

Agenda du Saint-Siège : les dates à retenir du 1er juillet au 1er août 2025
30/06/2025
Synode : les rapports des dix groupes d’études reportés au 31 décembre 2025
30/06/2025
Liturgie : Le Missel romain aura bientôt une messe dédiée à la "sauvegarde de la création"
30/06/2025