« Chaque fois que la communauté chrétienne se prépare à faire mémoire de la naissance du Rédempteur, elle est traversée par un frisson de joie, qui se communique, dans une certaine mesure, à toute la société ». C’est ce que Benoît XVI a déclaré lors de la prière de l’Angélus, le 27 novembre 2005, premier dimanche de l’Avent. La veille, dans la basilique Saint-Pierre, le pape avait présidé les premières vêpres du temps qui ouvre la période de quatre semaines de l’année liturgique qui précède et prépare la fête de Noël. « L’espérance des chrétiens est tournée vers l’avenir, mais reste toujours bien…
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