Benoît XVI a lancé avec conviction un appel à ce que cesse le terrorisme – « choix pervers et cruel » – accusé les auteurs des attentats de vouloir envenimer les relations interreligieuses qu’il a qualifiées de nécessités vitales. Des paroles prononcées par le pape alors qu’il recevait une dizaine de représentants des communautés musulmanes allemandes à l’archevêché de Cologne dans la soirée du 20 août 2005 en marge des 20e Journées mondiales de la jeunesse (JMJ). Avant l’intervention du pape, Ridvan Cakir, président de l’Union islamique turque en Allemagne a pris la parole. Le chef de l’imposante communauté turque présente en…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE