Dès son arrivée à Sofia, en Bulgarie, dans la soirée du 23 mai 2002, Jean-Paul II a répondu à l’attente de ce peuple désireux d’éliminer tout soupçon concernant l’accusation qui lui a été faite, en 1981, d’avoir organiser l’attentat contre le pape. Une manière pour Jean-Paul II de taire les rumeurs afin de donner à ses quatre jours de visites qui lui restent, le caractère œcuménique et pastoral initialement voulu, malgré une fatigue évidente comme il l’a lui-même reconnu. « En aucune circonstance je n’ai jamais cessé d’aimer le peuple bulgare, le portant constamment dans la prière », a lancé Jean-Paul II…
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