Le Saint-Siège a exprimé sa « vive appréciation » – mais en « déplorant » les torts causés par les procédures judiciaires – face à la sentence d’acquittement du cardinal Michele Giordano, archevêque de Naples, par laquelle s’est conclu le 22 décembre 2000, le procès qui lui avait été intenté en mai 1998 pour usure et appropriation d’argent indue. Le soir du 22 décembre, le juge du tribunal de Lagonegro – petite ville de la région de Salerne, au sud-est de Naples, d’où étaient parties les accusations – s’est en effet prononcé définitivement en faveur de l’innocence du cardinal. L’acquittement s’est appuyé sur le…
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