Benoît XVI, en visite officielle au palais présidentiel italien du Quirinal, le 4 octobre 2008, a affirmé que l’Eglise ne recherchait ni « le pouvoir », ni des « privilèges ou (…) des avantages économiques et sociaux ». Le pape a été reçu par le président de la République italienne, Giorgio Napolitano, le jour de la fête de saint François d’Assise, patron d’Italie. Dans son discours, Benoît XVI a aussi souligné qu’il ne fallait pas craindre de la part de l’Eglise « une prévarication au détriment de la liberté ». « L’Eglise ne cherche pas le pouvoir, ni ne prétend à des privilèges ou n’aspire à des…
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