Le théologien contestataire Hans Küng a estimé que l’Encyclique de Benoît XVI sur l’amour chrétien était un ‘signal positif’, mais a réclamé des suites courageuses pour les structures de l’Eglise et ses règles juridiques. Le Suisse était interrogé le 26 janvier 2006 par le quotidien italien La Stampa, au lendemain de la publication de la première Encyclique du pape allemand, Deus caritas est. « J’accueille cette Encyclique comme un signal positif, mais j’y vois des limites », a ainsi déclaré Hans Küng, expliquant qu’il souhaiterais désormais « une deuxième Encyclique sur (…) les structures de la justice dans l’Eglise institutionnelle et ses rapports…
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