Le Saint-Siège a très fermement condamné et répondu aux accusations israéliennes émanant d’un fonctionnaire des Affaires étrangères, Nimrod Barkan, qui critiquait le Vatican pour son silence sur les attentats en Terre Sainte. Dans un communiqué publié dans la soirée du 28 juillet 2005, le Saint-Siège a indiqué qu’il n’avait de leçon à recevoir d’aucun gouvernement. Selon le communiqué du Saint-Siège, face au caractère « insoutenable de l’accusation » faite à Benoît XVI de ne pas avoir « mentionné l’attaque de Netanya du 12 juillet après la prière de l’Angélus du dimanche 24 juillet », Nimrod Barkan a « inventé » le fait que son gouvernement soit…
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