Face au « danger d’une guerre », Jean-Paul II a appelé les chrétiens de toute confession à être des « sentinelles de la paix » et les catholiques à prier le chapelet et à jeûner pour la « cause de la paix, spécialement au Proche-orient ». « Depuis des mois, la communauté internationale vit dans l’appréhension pour le danger d’une guerre qui pourrait perturber l’entière région du Proche-Orient et aggraver les tensions qui malheureusement existent déjà en ce début de troisième millénaire » a lancé le pape aux milliers de pèlerins réunis sur la place Saint-Pierre pour la traditionnelle prière de l’Angélus, le 23 février 2003. « C’est un…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE