Depuis la promulgation du motu proprio Authenticum charismatis, l’érection d’un nouvel institut de droit diocésain par un évêque sans l’accord explicite du Siège apostolique est devenue invalide. Si ce texte marque un véritable pas en avant pour prévenir les abus de tous types au sein des nouvelles communautés, il pourrait ne pas suffire à corriger toutes les déviances observées dans l’Église. Face aux récents scandales d’abus, « nous n’avons pas les réponses à toutes les questions » et « nous apprenons au coup par coup », reconnaît l’un des employés de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE
CG