Tant que « des armes de plus en plus sophistiquées » seront fabriquées dans le monde, il n’y aura pas « une authentique culture de la paix » mais seulement une paix basée sur « l’équilibre de la terreur ». C’est ce qu’a réaffirmé le Saint-Siège le 27 avril 2000, à New York, lors de la 6e conférence de révision du Traité de non prolifération des armes nucléaires. Pour le Saint-Siège, qui avait adhéré en février 1971 à ce traité, il « est l’un des premiers efforts significatifs en faveur du désarmement » car il « entend prévenir la diffusion des armes nucléaires, promouvoir la coopération dans le domaine…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE