Actualité

Pour le secrétaire d’Etat du Saint-Siège, même si l’exécution du philosophe Giordano Bruno reste regrettable, il est avéré que sa pensée était hérétique.

L’exécution par le feu du philosophe napolitain Giordano Bruno à Rome le 17 février 1600, suite à une sentence d’hérésie du Tribunal de l’Inquisition romaine, constitue aujourd’hui pour l’Eglise « un motif de profond regret », d’après le secrétaire d’Etat du Saint-Siège. Mais Giordano Bruno ne doit pas pour autant être « l’occasion et le symbole d’une critique acerbe vis-à-vis de l’Eglise », estime le cardinal Angelo Sodano, et il reste avéré, affirme-t-il dans un message du 17 février 2000, que sa pensée était effectivement hérétique. C’est exactement quatre siècles après l’exécution du philosophe qu’un message du secrétaire d’Etat du Saint-Siège a été publié…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE

Actualité

Terre sainte : le cardinal Pizzaballa estime qu’il ne faut pas « aller trop vite » en parlant de paix
15/10/2025
Mgr Ignace Maloyan, le saint martyr du génocide arménien [SÉRIE : 2/5]
15/10/2025
Le Saint-Siège annonce la consécration d'un évêque auxiliaire à Shanghaï
15/10/2025