Pour le Saint-Siège, le « retour » et non « la restitution » des reliques de saint Jean Chrysostome (349-407) et saint Grégoire de Nazianze (330-390) au patriarche de Constantinople n’est ni un geste de « réparation » ni une « demande de pardon » pour les croisades. C’est ce qu’a déclaré Joaquin Navarro-Valls dans la matinée du 27 novembre 2004. « Certains médias ont diffusé l’information que le geste de Jean-Paul II, de grande importance ecclésiale et expression de la ‘communicatio in sacris’ existante entre l’Orient et l’Occident chrétiens, est un acte de réparation et une manière, pour le pape, de demander pardon de la part de l’Eglise…
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