« L’otage britannique assassinée de manière barbare », c’est ainsi qu’a titré L’Osservatore romano à paraître le 18 novembre 2004, condamnant l’exécution de Margaret Hassan, retenue en otage en Irak depuis le 19 octobre. « Les horreurs ne finissent pas en Irak », a continué l’organe de presse du Saint-Siège, ajoutant qu' »encore une fois s’est déroulé un rituel macabre qui, avec un mépris nihiliste, massacre la personne humaine ». Margaret Hassan, une Britannique de 59 ans, était directrice de l’organisation non-gouvernementale « Care International » pour laquelle elle travaillait « avec générosité et passion » depuis 30 ans en Irak, « au service des pauvres et des malades ». « Une vie…
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