Pour L’Osservatore Romano, le rapt des deux Italiennes, Simona Torretta et Simona Pari, de plein jour à Bagdad le 7 septembre est « un saut tragique de qualité dans la stratégie de l’horreur ». C’est ce que l’organe de presse officieux du Saint-Siège écrit dans un article intitulé « femmes de paix otages de guerre », en première page de son édition du 9 septembre 2004. « Cette prise d’otage, une opération ciblée, soigneusement préparée et conduite avec une rapidité foudroyante est la preuve évidente que dans la tourmente irakienne la guerre n’est pas terminée », et qu’elle connaît une nouvelle étape, peut-on lire dans le…
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