Jean-Paul II a déploré, le 4 septembre 2004, « l’épilogue cruel de la féroce prise d’otage en Ossétie du Nord » et, tout en condamnant le terrorisme, a souhaité que « la spirale de la violence et de la haine ne prévale pas ». Il a présenté ses condoléances aux familles des centaines de victimes. Par la voix de son secrétaire d’Etat, le cardinal Angelo Sodano, le pape a exprimé toutes ses condoléances au peuple russe dans un télégramme envoyé au président de la Fédération, Vladimir Poutine. « Ayant appris l’épilogue cruel de la féroce prise d’otage en Ossétie du Nord, une lâche agression sans…
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