« Quand nous parlons de dialogue avec les musulmans, nous n’entendons pas nécessairement discussion » mais aussi « collaboration », a déclaré le cardinal Francis Arinze, préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, interrogé par Radio Vatican, au retour d’un voyage dans son pays natal, le Nigeria, le 1er juillet 2004. Pour le cardinal Arinze, dans le dialogue entre chrétiens et musulmans au Nigeria, « beaucoup est encore possible. De nombreuses situations de conflits ont, en réalité, d’autres causes que celles que l’on croit. Elles ne sont pas toujours religieuses, mais aussi liées à des récriminations sur des questions…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE