Jean-Paul II a appris « avec joie et soulagement » la nouvelle de la libération des otages italiens et polonais, a affirmé le porte-parole du Saint-Siège, Joaquin Navarro-Valls, le 8 juin 2004. Tandis que le pape « partage les sentiments de joie de l’entourage des otages libérés », il « se sent également proche de la famille de Fabrizio Quattrocchi, assassiné de façon barbare après avoir été séquestré », a-t-il aussi précisé dans sa déclaration. Quatre Italiens avaient été pris en otage le 12 avril 2004, par un groupe lié à la guérilla de Falluja, les « Phalanges vertes ». L’un d’eux, Fabrizio Quattrochi, avait été assassiné le…
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