Recevant le 27 mai 2004, sept nouveaux ambassadeurs accrédités auprès du Saint-Siège en provenance du Suriname, du Sri Lanka, du Mali, du Yémen, de la Zambie, du Nigeria et de la Tunisie, Jean-Paul II a concentré toute son intervention sur la torture, en soulignant que personne ne peut « se taire devant de telles exactions, qui ne sont pas tolérables ». Après les révélations des actes de tortures commis par l’armée américaine, notamment en Irak, c’est la première fois que le souverain pontife s’exprime aussi clairement sur cette question. Le 20 mai 2004, devant la Conférence épiscopale italienne, il avait simplement parlé…
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