« Nous pensions que le pire était passé, grâce au voyage du pape au Kazakhstan et à tant de signes de paix ». C’est ce qu’a affirmé au quotidien italien Corriere della Sera le nonce apostolique au Pakistan, Mgr Alessandro D’Errico, le 29 octobre 2001. Interrogé pour sa part par La Repubblica, le cardinal Achille Silvestrini, président émérite du Conseil pontifical pour l’unité des chrétiens, craint une « fracture inguérissable » entre l’Occident chrétien et le monde musulman. Interrogé au lendemain du massacre de 18 protestants par 6 fondamentalistes musulmans, dans une église catholique – qui avait été prêtée le temps d’une cérémonie -,…
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