Ni l’évêque, ni le supérieur de l’ordre religieux d’un prêtre accusé d’abus sexuels ne peut être rendu responsable de l’acte, rappelle le mensuel des jésuites italiens, la Civiltà Cattolica, dans son édition à paraître le 18 mai 2002. Près d’un mois après la venue au Vatican des cardinaux américains pour aborder la question du rôle de l’Eglise dans cette affaire, l’article insiste sur le fait que l’évêque ne peut être accusé avec le coupable, à condition qu’il ait agi en règle avec le droit canon. « Ni l’évêque ni le supérieur ne sont moralement ou juridiquement responsables de l’acte criminel commis…
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