Dans la matinée du 18 septembre 2010, à Londres (Grande-Bretagne), l’agenda de Benoît XVI a été marqué par plusieurs rencontres à caractère politique. Dans la résidence de l’archevêque de Westminster, le pape a d’abord reçu le premier ministre conservateur David Cameron, puis le vice-premier ministre Nick Clegg, leader du parti libéral-démocrate avec lequel la majorité a dû composer pour créer un gouvernement de coalition. Le souverain pontife a aussi accordé quelques minutes d’audience à la travailliste Harriet Harman, leader de l’opposition. Quelques plus tard, un mouvement d’opposants à la visite du pape commençait à s’organiser dans les rues de la…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE