Reconnaissant « la gravité de la tourmente que traverse l’Eglise » avec la révélation récente de plusieurs affaires de pédophilie en Allemagne, en Autriche ou aux Pays-Bas, le père Federico Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint-Siège, a jugé que les Eglises concernées avaient agi « avec rapidité et détermination ». Le 9 mars 2010, dans une note diffusée sur Radio Vatican, le ‘porte-parole’ du Vatican a aussi tenu à souligner que la question était « beaucoup plus large » et que le fait de « concentrer seulement les accusations sur l’Eglise » pouvait conduire « à fausser le point de vue ». « Si l’on ne peut nier la…
Cet article est réservé aux abonnés.
JE ME CONNECTE