Après la rencontre interreligieuse du 24 juin 2001 à Kiev, Joaquin Navarro-Valls, porte-parole du Saint-Siège, a affirmé que « lorsque Alexis II constatera l’impression positive que la rencontre a laissé dans l’esprit des catholiques et des orthodoxes ukrainiens, il ne pourra que regretter d’avoir demandé au métropolite Vladimir de ne pas s’y rendre. Cela devrait l’inciter à faire des pas en direction des catholiques ». Auparavant, il avait affirmé que « les orthodoxes de Moscou, en continuant à s’opposer aux catholiques, « risquent de manquer le train de l’histoire ».SR
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